PERVERS NARCISSIQUE - Enfant soldat
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Que fait un parent pervers avec son enfant ?
Cet adulte sait qu’il a, face à lui, un être malléable. Il se sert de l’enfant pour ressentir du pouvoir, pour exister aux dépens de l’enfant et de son énergie. Et jamais l’agresseur ne se remet en question ». La violence perverse dans la sphère privée
En clair, le parent pervers voit en son enfant une opportunité privilégiée pour créer, à sa convenance, SON œuvre. Ce n’est pas, comme chez un parent normal, une démarche motivée par le désir d’amener son enfant à un épanouissement et une autonomie. Chez le parent pervers, l’éducation est une méthode pour formater la vie d’un individu destiné à servir les intérêts de son créateur.
L’enfant n’est plus considéré comme un être en devenir : il n’est qu’un objet. Celui du désir du parent. Il n’a pas droit à son propre désir. » La violence perverse dans la sphère privée
Suite logique… En effet, le pervers fait un trait sur les aspirations personnelles de son enfant, et invite celui-ci à faire de même. L’enfant ne doit pas se détourner de l’objectif qui est celui d’exister pour (et uniquement pour) ce parent.

Que se passe-t-il dans la tête de l’enfant ?

L’enfant intègre le schéma à suivre pour obtenir l’amour de ce parent pervers : « j’étouffe mes propres désirs… pour prioriser ceux de mon père ». Pour ce faire, l’enfant renoncera alors à son identité propre.
Comme rien ne se voit en dehors, l’adulte est tellement manipulateur qu’il passe fort bien en société, l’adulte étant adulé par l’enfant, l’enfant a la certitude, qu’il n’a pas le DROIT d’exister. Pas droit au bonheur, pas droit à l’enfance. Il n’est plus que l’OBJET de l’adulte agresseur et ne peut plus être SUJET.

La violence perverse dans la sphère privée
Voici là une base idéale pour le pervers. Ce dernier pourra, à sa guise, faire de sa progéniture un enfant serviteur, mais aussi…un enfant soldat.
Bien évidemment, tous les cas de figure sont observables. Fort heureusement, de nombreux enfants parviennent à développer une lucidité face à cette situation malsaine, l’environnement (social, familial, amical), l’éducation de l’autre parent, le caractère de l’enfant intervenant pleinement dans la construction de son identité.

C’est le père qui présente une pathologie mentale, qui va se manifester de façon très différente. Nous sommes en présence d’un père présentant une personnalité paranoïaque l’exclusivité de la responsabilité parentale et de la garde, et qui va réussir, en manipulant l' enfant, à la convaincre que c’est lui qui a raison et que leur mère a tort, et l'enfant soldat fait tout pour plaire au père. il ira jusqu'a mentir.Et finira toutes ces phrases par : c'est ma propre decision.


Le père commence inconsciemment la rupture conjugale, avec un sentiment de jalousie qui va prendre de l’ampleur, qui devient vite pathologique avec des violences, et il entraîne les enfants dans son système délirant, en les persuadant que c’est lui qui a raison, que la mère est une mauvaise mère. Si les enfants sont suffisamment grands pour ne plus être dans une relation fusionnelle d’attachement avec la mère et pour être dans une relation positive avec le père, ils seront très sensibles aux arguments que pourra donner le père, qui par ailleurs se montrera "anormalement" très attaché à l' enfant.

La période la plus sensible pour les enfants est entre 6 et 12 ans, avant la puberté, mais elle peut continuer au-delà.
L’enfant est influençable et on peut lui faire dire tout ce que l’on veut. On peut le faire mentir!


Vous avez des enfants hyper adaptés scolairement mais qui sont des enfants très gravement perturbés. La réussite scolaire n’est donc pas un critère absolu, le seul critère, ce n’est qu’un critère parmi d’autres


L’enfant n’est pas responsable des choix qu’il a été amené à faire, ni des paroles qu’il a été amené à prononcer car tout cela, ce sont des ordres qui lui ont été transmis par le parent, dont il a été amené à choisir le camp. Pour lui : sa patrie - c’est le parent qu’il a choisi. L'enfant finit par penser et parler comme son père.

  • Caractéristiques diagnostiques et description du processus
    .L'enfant (je mets en bleu ce que fait déjà ma petite fille)
    Les huit manifestations symptomatiques (« critères décisionnels ») repérées par Gardner (1998a) chez l'enfant sont15 :
    (1) Campagne de dénigrement (diffamation)
    L'enfant médit continuellement l'autre parent, dit le haïr et ne plus vouloir le voir :
    « Je la déteste, et je ne veux plus la voir de toute ma vie ».

    (2) Rationalisations faibles, frivoles, et absurdes
    L'enfant donne des prétextes futiles, peu crédibles, ou absurdes pour justifier sa dépréciation du parent aliéné. Cette hostilité est non crédible, car non reliée à des évènements significatifs :

    (3) Absence d'ambivalence
    Un parent est adoré par l'enfant, l'autre haï. L'enfant est absolument sûr de lui et son sentiment exprimé à l'égard du parent aliéné est sans équivoque : c'est de la haine :
    « Ma mère est le plus mauvaise du monde ». Elle ira jusqu'à dire à sa maman"tu ressembles à une pute"

    (4) Phénomène du penseur indépendant (ou du penseur libre)
    Il s'établit un consensus sur le fait que le rejet vient de l'enfant. L'enfant aliéné ne reconnaît jamais qu'il a été l'objet d'une influence.
    L'enfant dira « C'est ma décision de ne plus aller chez maman ».

    Le parent aliénant : « Je veux bien qu 'elle aille chez sa mère mais c 'est elle qui ne veut pas. Et je vais me battre jusqu’ 'au bout pour que mon enfant soit respecté».

  • (5) Soutien au parent aliénant
    L'enfant prend la défense du parent aliénant dans le conflit, se perçoit comme un soutien au parent gardien, qui serait « persécuté » par le parent aliéné. Il devient son « petit soldat ». Par exemple, il volera de sa propre initiative des documents appartenant au parent aliéné, qu'il ramènera au parent aliénant. Il mentira! et peut même mentir à la justice.

  • (6) Absence de culpabilité
    L'enfant n'éprouve aucune culpabilité par rapport à la mise à mort du parent aliéné. Ce processus est plus actif que le manque d'ambivalence. On observe une coloration sadique :
    Plus il y a de symptômes, plus le niveau de gravité du PAS augmente (léger, modéré, sévère).
    « Je suis bien débarrassé depuis que je ne la vois plus » ; « C 'est bien fait pour elle » ; « Ça ne me sert à rien de la voir ».

  • (7) Présence de scénarios empruntés
    L'enfant relate des faits qu'il a manifestement entendu raconter. Il emploie un langage d'adulte emprunté au parent aliénant, il emploie les mêmes termes.
    (8) Animosité étendue à l'ensemble du monde du parent aliéné, il se met à rejeter toute la famille de l'aliénée.
    L'enfant généralise son animosité à l'ensemble du monde du parent aliéné : grands-parents, oncles, cousins, amis,frère ou soeur...,


Gardner (1998a) développe la dynamique sous-jacente chez l'enfant :
- Crainte de perte du lien psychologique primaire : la peur de perdre l'amour du parent aliénant (souvent le père) est le facteur principal à l'origine des symptômes chez l'enfant.
- Formation réactionnelle : la haine obsédante n'est qu'une forme déguisée d'amour pour le parent aliéné.
- Identification à l'agresseur : l'enfant peut s'allier au parent aliénant dans le but de se protéger contre l'hostilité de ce dernier.
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- Décharge de l'hostilité : le PAS permet à l'enfant de décharger sa colère vis-à-vis de la séparation parentale.
- Pouvoir : évacuer sa rage donne à l'enfant une impression de pouvoir. L'enfant peut se permettre d'être inconvenant et menaçant avec le parent aliéné, sachant qu'il est « couvert » par le parent aliénant.


- Contagion des émotions : la rage du parent aliénant se transmet rapidement à l'enfant.


- Rivalité sexuelle : avec un parent de sexe opposé, l'enfant engage des attitudes de séduction, et désire être en relation unique avec ce parent.


Le parent aliénant

Warshak (2001b) explicite différentes catégories de comportements chez le parent aliénant (qui se répercutent sur l'enfant) :
Jeu du nom
Trois tactiques se retrouvent dans cette manipulation des noms. La première consiste à étiqueter péjorativement le parent aliéné (en parlant de lui sous la nomination « la folle», « la sorcière », ...).

Attention sélective
Le parent aliénant s'appuie sur l'ambivalence naturelle de l'enfant envers ses parents. Il attire l'attention de l'enfant sur les seuls traits négatifs du parent aliéné. À l'inverse, les éléments positifs, pouvant équilibrer l'ambivalence, ne sont pas mentionnés.

Mensonges
Le parent aliénant donne des fausses informations (négatives) à propos du parent aliéné.
Théorie du changement total

Suggestions et allusions

Piété hypocrite
La rectitude peut servir de levier à l'aliénation. Le parent aliénant pointe du doigt l'atteinte à la morale. Un commentaire typique est « Je ne peux m'attendre qu'à cela de sa part ».
Indulgence excessive
Le parent aliénant est volontairement plus permissif que le parent aliéné afin de séduire l'enfant. Il peut aussi montrer son soutien à l'enfant lorsque celui-ci se plaint du parent aliéné
Empiètement
Le parent aliénant perturbe le temps de garde alloué à l'autre parent. Une technique particulière est de téléphoner et de dire d'emblée, sans tenir compte de l'état de l'enfant, « Qu'y a-t-il ? Est ce que ça va ? ». Une autre méthode (toujours au téléphone) consiste à culpabiliser l'enfant (« Comme tu me manques ! »). Enfin, il existe la manœuvre dont le principe est d'organiser un évènement (fête avec les camarades, journée dans un parc d'attraction, ...) qui se déroule sur le temps de garde du parent écarté.
« Cape et épée »
L'aliénateur donne des directives à l'enfant telles que garder des secrets, espionner le parent aliéné, de dire des mensonges, et voler des documents. Darnall (1999) considère que les secrets, les codes, les rendez-vous clandestins placent l'enfant dans une relation exclusive (avec le parent aliénant) qui exclut l'autre parent.


Conspiration
Le parent aliénant promet l'aliénation en cherchant le soutien de la part de personnes de son entourage, qui deviennent des co-programmeurs.Et il fuit ceux qui doutent.


Conditionnement à la résistance
À l'instar de suggestions posthypnotiques, le parent aliénant prévient les enfants que les personnes qui les questionnent à propos des relations familiales sont des gens qui essaient de les manipuler. Les enfants sont alors encouragés à couper la communication, et à fuire ces gens là.
Projection
Les sentiments, impulsions et pensées que le parent aliénant ne reconnaît pas en lui-même sont projetés sur le parent aliéné. Par exemple, le parent aliénant accuse le parent aliéné d'être cruel, violent; de ce fait, il évite l'aperception de sa propre cruauté. En fait il PROJETTE SES PROPRES DEFAUTS sur la maman.


Rationalisation
Le parent aliénant convainc les autres et se convainc lui-même qu'il ne fait rien de mal. Aussi, on peut voir le « respect du choix de l'enfant » (de ne plus voir le parent aliéné) Il dira toujours avec un grand sourire," c'est mon enfant qui décide.......moi je fais tout pour que cela se passe bien".


le lavage de cerveau (brainwashing)19: termes choisis, perturbation des communications téléphoniques, téléphone à l'enfant tout le temps lorsqu'il est chez le parent alinée, création d'une alliance par l'utilisation du « nous », destruction et reconstruction des souvenirs de l'enfant, sarcasmes et interrogations orientées (après la visite chez l'autre parent) ;


Lorsqu'un parent dévalorise l'autre et gomme ses propres faiblesses, il tente de sauver son estime de soi. D'autres parents vont investir leur nouvelle partenaire comme un parent pour leur enfant (le réel autre parent devant disparaître). Enfin, certains parents, après s'être sentis humiliés, loin de considérer l'autre parent comme dangereux, estiment tout simplement que l'autre parent doit payer pour ce qu'il a fait (Poussin et Martin-Lebrun, 1997).
Un chapitre du livre de Warshak (2001b) est consacré aux motifs de l'aliénation (chez le parent aliénant) :
- limites pauvres : le parent aliénant ne fait pas la distinction entre ses propres besoins et celui de l'enfant ; il ne considère pas ses comportements comme destructifs pour l'enfant.
- vengeance : certains parents aliénants se sentent rejetés ; une façon de se venger est de priver l'autre parent de ses enfants.
- narcissisme : beaucoup de parents se sentent inférieurs ; une manière de se convaincre de sa supériorité est de médire l'autre parent.
- culpabilité : certains parents divorcés tolèrent mal la culpabilité vis-à-vis de la séparation, et se focalisent sur les failles de l'autre parent.
- insécurité : certains parents doutent de leur capacité à maintenir l'affection de leurs enfants et considèrent l'autre parent comme un concurrent qui risquerait de gagner la compétition.

- paranoïa : les individus paranoïaques ont tendance à catégoriser leur entourage comme étant « pour » ou « contre » eux ; les enfants subissent donc la pression pour dénigrer totalement l'autre parent.
- reproduction : un grand pourcentage de parents aliénants ont une relation pauvre ou absente avec au moins l'un de leurs parents ; ce phénomène peut être analysé comme étant une forme de compulsion à la répétition où le parent aliénant inflige à quelqu'un d'autre ce qu'il a subi autrefois lui-même.

Conclusion
Le parent aliéné, autrefois en bonne relation avec l'enfant, se retrouve maintenant face à un enfant haineux.


Lorsque le parent identifie la manipulation du parent aliénant et le communique à l'enfant, cela ne fait qu'accentuer l'aliénation (car l'enfant ne peut admettre qu'il ne pense pas par lui-même). Le parent aliéné n'a généralement pas conscience du fait que
l'opposé de l'amour n'est pas la haine mais l'indifférence, et que le comportement de l'enfant aliéné n'est qu'une manière de faire face à la perte forcée d'un parent.
Sentiments de rage impotente
Le parent aliéné sait ne pas pouvoir corriger les fausses informations, le dénigrement, ... infligé par le parent aliénant sur l'enfant aliéné. Cela mène à une énorme frustration.
Situation du non-gagnant
Le parent aliéné est critiqué quand il intervient, et il est critiqué quand il ne fait rien. S'il tente d'avoir un contact avec l'enfant, il est considéré comme harceleur. S'il se retire, espérant que l'enfant vienne de lui-même, il est considéré comme abandonneur. Quoi qu'il fasse, le parent aliéné agit toujours mal !

L'enfant aliéné (exclu) est otage de ces situations :
L'enfant subit de terribles pressions psychologiques dans le "huis clos familial". Il est otage de cette situation dont il ne peut s'échapper puisqu'il a besoin et aime ses parents. L'image "affichée" à l'extérieur de la famille est toute autre.
L'enfant n'a plus le "droit moral" d'aimer mais uniquement le droit "moral" de haïr l'autre parent et sa famille. Comme dans la majorité des situations de maltraitance, la parole de l'enfant est contrôlée tout autant que l'expression de ses émotions.
Les enfants sont élevés dans la haine de la mère, le fanatisme, le mensonge, le déséquilibre...

•Soit il participe au combat en s'alliant au parent destructeur de lien.
Dans tous les cas, l'enfant ne peut échapper aisément au combat du parent pathologique s'il n'est pas protégé.
Dans ces trois cas, l'enfant n'a pas d'autre choix que de collaborer avec l'agresseur (le parent excluant). Il adopte un discours qui paraît très crédible aux yeux des non avertis. Des fausses mémoires peuvent aussi atteindre l'enfant qui pourra accuser l'autre parent du pire.


Dans l'environnement familial, scolaire, social, professionnel, beaucoup trop s'y laissent prendre. Les techniques permettant de reconnaitre et de discerner le discours de ces enfants ne sont pas assez apprises par les professionnels. Ceux qui ont repéré la tactique du parent aliénant se font généralement éviter ou exclure : comme dans les sectes !


Le parent excluant est aveuglé par son combat.Ne pas prendre en considération la souffrance de son enfant est une attitude qualifiable de maltraitance perverse.


L'aliénation parentale relève aussi du crime psychologique : le parent malveillant veut détruire l'autre tant psychologiquement que physiquement, certains arrivent à tuer réellement leur ex-conjoint qui ne supporte plus les agressions. Malheureusement, nous recevons des témoignages de tels drames sur ce site.
L'aliénation parentale est une violence familiale qui vise à la destruction tant symbolique que réelle de l'autre parent !
L'exclusion parentale fait partie des phénomènes de relation d'emprise terribles qui détruisent les enfants avec une force inimaginable et terriblement perverse. Les enfants sont élevés dans la haine de l'autre parent. Dans un milieu familial fermé, cette haine peut devenir normale pour l'enfant non reconnu comme une victime.
Le parent excluant saura vous expliquer que l'enfant n'a pas besoin de la soit disant "mauvaise influence" de l'autre parent. Il saura vous décrire un portrait à son grand désavantage, l'enfant tiendra peu à peu le même discours emprunté. Le parent aliénant vous dira aussi que l'enfant n'a pas besoin des deux parents et encore moins de l'autre pour toutes sortes de raisons et en utilisant toutes sortes de stratagèmes, y compris les plus sordides, les plus sournois et les plus méchants.
Les psychologues sont formels et unanimes : les enfants ont besoin des deux parents et de la fameuse triangulation.
Les psychologues sont formels et unanimes : élever un enfant dans la haine de l'autre parent consiste à induire de la haine contre une partie de lui même puisque l'enfant est le fruit des deux parents, c'est détruire l'enfant.
Les psychologues sont formels et unanimes : mettre dans la tête d'un enfant qu'il est le fruit d'un "parent monstrueux" ou "moins que rien" ou pire encore crée de véritables bombes à retardement dans son cerveau.
Priver un enfant de l'un des parents engendre de terribles dégâts qui sont sous estimés, y compris par des médecins ou psychologues pas assez aguerris aux relations toxiques, aux relations d'emprise et à la victimologie qui est la psychologie appliquée aux cas d'agressions. ARTICLE COMPLET
beaucoup d'affaires de violences psychologiques se passent ainsi : le parent excluant a plus de 80 % de chances de s'allier (de retourner) les services de la justice pour mener son combat destructeur. La justice devient l'arme du manipulateur. Ils vont jusqu'à faire mentir l'enfant, pour en obtenir la garde.

 

Conseils à l'enfant soldat par des professionnels

Ce document s’adresse à toi, enfant ou ado qui croit bien faire en rejetant l’un de tes parents, grand parent ou frère et sœur, à la demande directe ou indirecte de l’un de tes parents, du fait que l’enfant est plus vulnérable, plus facile à convaincre.

Le risque est que l’un ou tes deux parents se servent de toi pour nuire ou se venger de l’autre parent. Tu peux alors devenir « l’enfant jouet » utilisé "comme un PETIT SOLDAT" par l’un de tes parents pour essayer de détruire psychologiquement ton autre parent.

Nous allons essayer de t’expliquer de façon simple la démarche de cette manipulation qui est une maltraitance psychologique et s’appelle « ALIENATION PARENTALE », et si tu souffres de ce problème, tu peux nous téléphoner afin que l’on t’explique comment ne pas souffrir et te protéger pour ton avenir de ces manœuvres parentales.

Cela se fait à ton insu, par une manipulation de ton père.. On t’apprend à penser autrement, à penser contre l'autre parent, grand parent, frère ou sœur que l‘on ne veut plus voir près de vous, sans aucune raison.

Après avoir été manipulé sans t’en apercevoir, tu vas croire qu’il faut l’écouter et ne plus voir l’autre parent ou grand parent qu’il veut exclure de ta vie.

On se sert de toi comme un « enfant soldat » contre l’autre parent ou grand parent à qui on veut faire du mal en l’empêchant de te voir, mais aussi en te faisant croire que ce dernier t’a oublié ou ne veut plus te voir alors que cela n’est pas vrai.

Ce parent qui parle en mal de l’autre parent, te trompe et te considère comme un « objet » qu’il utilise afin de réaliser son but qui est de t’éloigner d’un être cher, parent ou grand parent que tu as toujours aimé.

Si tu agis ainsi, tu le regretteras un jour, avec des répercussions psychologiques graves, et un sentiment de culpabilité en réalisant que tu as été complice d'une injustice envers l'autre parent ou grand parent qui a été exclu de ta vie.

Si l’un de tes parents ou tes 2 parents dénigrent ton autre parent ou un membre de ta famille, (Grand Parent, Frère ou sœur), pose-toi la question de savoir pourquoi ils le font, et si leur but n’est pas de l’exclure de ta vie, par vengeance en se servant de toi pour parvenir à leurs fins.

Ils n’hésitent pas à te priver d’une partie de ta famille qui t’aime et tiens à toi, simplement pour des problèmes qui ne te concernent pas du tout.

C’est seulement plus tard que tu comprendras que tu as été manipulé, que l’on s’est servi de toi sans aucun respect pour ta personne, que ceux-ci étaient des menteurs.

TU DOIS SAVOIR QUE TON DROIT, QUI EST LE DROIT DES ENFANTS EST DE VOIR SES DEUX PARENTS, SES GRANDS PARENTS, SES DEUX FAMILLES, et d’AVOIR SES DEUX CULTURES.

Chaque année, nous aidons des enfants comme toi, à leur demande ou avec celle d’un de leurs parents pour tenter d’apporter une réponse à leur problème.
Si tu es concerné, contacte-nous, et nous tenterons de t’aider ou que tu sois en France. Par texto ou portable au 06.42.39.98.31, ou sur le fixe au 09.77.04.06.64, nous te rappelons, ou encore par mail : stopviolence@wanadoo.fr

stopviolence.fr - article pris sur ce site
A lire : LA MALTRAITANCE PSYCHOLOGIQUE DE L'ENFANT-OTAGE